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 .: Kaiser Franz von Weizimmer, pour son Humble Plaisir Personnel :.

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Kaiser F. von Weizimmer
Son Altesse Incontestée :.
Kaiser F. von Weizimmer

Messages : 41
Métier & Groupe : : ~ Dictateur & Moi-Même

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MessageSujet: .: Kaiser Franz von Weizimmer, pour son Humble Plaisir Personnel :.    .: Kaiser Franz von Weizimmer, pour son Humble Plaisir Personnel :.  EmptyMar 1 Fév - 23:28

.: Kaiser Franz von Weizimmer, pour son Humble Plaisir Personnel :.  Titresp02
.: Personnage ::
Prénom & Nom : Kaiser Franz von Weizimmer. Sympa non ? Mais vous le connaissez sous le nom moins long de Kaiser F. von Weizimmer.

Âge : 28 Ans. Le bel âge, à mi-chemin entre la maturité réelle, et l’envie de rester un grand gamin, mais là j’vous cause inconscient, lui il s’en balance.

Classe Sociale & Mêtier : Kaiser de titre et de fait, et puis, « Dictateur » d’après certains mais ils ne sont plus de ce monde pour en parler aux dernières nouvelles. Un sacré beau Noble en somme.

Lieu de Résidence : Hofburg, le Palais Imperial. Parce qu’on a vraiment une superbe vue sur la ville et de nuit c’est bien.

Opinion concernant Kaiser : J’adore cet homme, si l’on peut simplement évoquer un homme pour un être de cette perfection. Je serais prêt à, bon, pas à mourir pour lui parce que pour ça faudrait que je sois fidèle à certains principes or je n’en ai aucun qui vaille ma propre mort mais je m’adore. Je suis d’une gentillesse et d’une magnanimité incroyable. Un ange assit sur un trône, magnifique.
:: Phantom :.
Nom : Yamihime. Je sais pas ce que j’avais regardé avant de me pieuter, mais j’avais dû entendre causer Jap’ avant, à tous les coups.

Classe : Faune. Même si c’est une Faune un peu particulière.

Miracles Physique & Spirituel : Feu & Domination. En gros hein, des flammes qui impressionnent vachement. Tellement que cet empaffé de Weimar a été cloué sur place, lui et son Phantom à explosifs. Et bim, qui qui c’est la meilleure ? C’est ma Yamihime chérie, la seule, l’unique !

Espèce & Sexe : Indéfinie, mi-chemin entre la Louve et l’Aigle, une sorte de bestiole unique en son genre, ce qui ne la rend que plus belle. Et vous noterez l’accord depuis le début de cette description puisqu’il s’agit d’une Femelle, oui monsieur, une charmante déesse de la victoire.

Particularités : Vous voulez une description ? Vous pouvez pas regarder le dernier journal people comme tout le monde ? Les photos qui y sont de moi avec ma Yamihime sont pourtant explicites ! Bon, puisque vous insistez… Yamihime est belle. Son poil d’un blanc pur scintille à la lumière et dégage sans qu’elle ait besoin de recourir à un quelconque artifice, toute la grâce qui fait d’elle la plus puissante Phantom à l’heure actuelle. Ses yeux aux iris bleus se posent sur les gens avec une grande bienveillance, une bonté que ne possède pas spécialement l’homme à qui elle est liée. Son visage animal est encadré d’une chevelure argentée dont je prends grand soin. Surmontées de tâches noires, ses longues oreilles entendent mieux que les miennes, et alors ses griffes crissent sur le sol, ses muscles s’activent et elle se relève. Sa longue queue fouette l’air et ses ailes se déploient, prête à fondre tel un ange céleste pour arrêter quiconque voudrait du mal à, ben, à moi ! Malgré cela elle ne s’énerve jamais, ou quasiment jamais… Vous n’aimeriez pas savoir de quoi elle est capable quand son état d’esprit rejoint le mien. Gardez en tête que sa douce voix est un signe de bonne volonté de sa part. Si c’est le silence que vous rencontrez chez elle… vous pouvez commencer à courir, aussi inutile que ce soit.

Image : .: Kaiser Franz von Weizimmer, pour son Humble Plaisir Personnel :.  Yamihime

Taille Maxi & Taille Mini : Jusqu’à 5 mètres au garrot maximum, et pas loin d’1 mètre au minimum. La plupart du temps elle m’accompagne en mesurant 1,5 mètres, dans ces eaux là j’ai pas vraiment mesuré aussi.
.: Récit :.
C’est en écoutant une petite musique au rythme techno-danse trouvé sur le net hier soir que je vais vous faire part de ce court récit. Bien installé derrière mon bureau, je ne saurais être plus à me place que dans mon beau palais, roi des palais, mais c’est horst-sujet. Vous vous demandez surement « Qu’est-ce qu’il va bien pouvoir vous raconter comme conneries encore ? », et, ce serait vous mentir que de vous détromper. Cependant je ne vous laisse pas plus le choix que ça, car ce récit d’introduction à ma biographie qui deviendra un best-seller dès sa sortie, est un énième décret de ma part : Achetez-moi ce bouquin où je vous jure que ça va faire mal !

Après cette petite mise en bouche appétissante n’est-il pas ? Concentrons-nous sur un bref mais néanmoins complet portrait de ma sainte famille, les Von Weizimmer. Comme s’en targuait souvent mon père avant que je ne monte sur le trône, nous descendons en droite ligne de la noblesse Autrichienne « parallèle », autrement dit celle qui n’était pas reconnue par la cour elle-même mais à qui le peuple rendait des comptes. Je vais vous épargner toute cette généalogie ennuyeuse pour en venir à du concret en la personne de mon arrière grand-père, Alexander von Weizimmer, celui grâce à qui la transmission des « biens » familiaux à tourné à notre avantage aux alentours de 1910. Avec tous ces bouleversements, la famille avait fini par imploser et la branche « pure », la mienne en somme, avait su tirer son épingle du jeu et ramasser le pactole ! C’est grâce à celui-ci que les allemands traitèrent relativement bien les miens durant la guerre, car notre appui et le contrôle « relatif » qu’exerçait notre famille à Viennes leur permettait une meilleure emprise.
Mais mon grand-père est déjà né à cette époque. Christof von Weizimmer, encore en vie à l’heure où je vous parle même si c’est plus que pour quelques années. La monté des démocrates ne lui a pas plu, mais il devait faire avec, aussi les activités annexes de la famille cessèrent sous peine de perdre gros. « A convoiter tout le Gerstnertorte, on peut y laisser toutes ses dents. » dit-il souvent. Son monde se réduisit à attendre, attendre, et finalement il en oublia ce qu’il attendait. Peut-être l’occasion de revenir sur le devant de la scène ? Mais pour ça, il a eu son petit-fils !
Parce que compter sur son fils pour faire un coup d’éclat… Ben oui Karl, croyez-vous que je vous épargnerai de ce récit ? Malgré toute l’affection que je peux porter à ma famille, ma prise de conscience n’a pas été à leur goût et… mieux vaut laisser le sujet de nos différents de côté pour le moment. Voici donc mon petit monde : mon père, Karl von Weizimmer ; ma mère, Sonja von Weizimmer ; et ma cousine, Melodie von Weizimmer. Concernant cette dernière c’est une petite histoire à part mais j’y reviendrais aussi… En fait, non, je vais en venir tout de suite à elle parce que parler de mes vieux me fatigue au plus haut point. Donc, pour la petite histoire, c’est… la fille de mon oncle décédé dans un accident de voiture en France. Des tocards ces français ils ne savent vraiment pas conduire. Elle est spéciale, et je supporte bien mieux sa compagnie que celle de mes géniteurs…


x
Kaiser s’arrêta de pianoter sur son ordinateur. Ses doigts en suspens, il ramena une main agile vers la souris et rouvrit la fenêtre du programme musicale pour augmenter le son de la musique qu’il était en train d’écouter, et qui tournait en boucle depuis plusieurs heures déjà dans le bureau. On pouvait surement percevoir son écho depuis la rue, aussi renforcées que soient les vitres ici. Dans un coin de la pièce, Yamihime dormait paisiblement à la lumière de la lune. Seul le ciel les éclairait tous les deux, avec la lumière produite par l’écran rétro-éclairé de son PC. Repoussant sa chaise en arrière, le jeune homme (car il se considérait comme encore jeune cela va de soi), s’étira et posa ses jambes sur son bureau d’ébène. Il appréciait la mélodie assourdissante qu’il écoutait alors que minuit pointait déjà, mais réfléchissait aussi un peu à ce qu’il venait d’écrire.
Tenter une autobiographie, c’était bien joli mais était-ce réellement ce qu’il convenait de faire ? C’était long en plus. Non, réflexion faites… Le dirigeant de l’Autriche revint à cette première page presque totalement remplie et sélectionna tout son texte avant de l’effacer cruellement, mettant un terme à son projet. Il allait faire faire ça par un écrivain célèbre, et puis basta. Le Weizimmer se passa une main distraite dans les cheveux avant de sauter sur ses pieds. Il ne tenait pas à s’encroûter devant son écran. A ce mouvement, sa douce Yamihime releva sa tête. Sa longue chevelure blanche ondula aux mouvements de son corps pour se lever, s’étirer comme son humain et avancer à sa rencontre. Lui-même, habillé de vêtements simples mais de luxe, posa ses fesses sur le rebord de son bureau en attendant son amie. La tête de celle-ci vint se poser sur sa cuisse, et il la caressa affectueusement. Sa relation avec son Phantom était bel et bien de l’amour, soyons clair dès le départ. Il aimait Yamihime comme elle semblait lui porter une affection bien réelle. S’il était aujourd’hui dans le Palais d’Hofburg, c’était grâce à elle.

Soudain la belle s’ébroua et se détacha de lui pour marcher jusqu’à la fenêtre, le museau pointé vers le ciel. Ses yeux dardaient sur un point unique et lointain une flamboyante force grâce à laquelle ils avaient conquis les foules et ce pays. Comme ce n’était guère la première fois que le Phantom agissait ainsi, c’était avec un sourire révélant ses dents d’une blancheur éclatante que dictateur attrapa dans la poche de son pantalon son téléphone portable. Il y avait sur celui-ci un répertoire impressionnant : tous les numéros personnels des ministres, ministères, des autorités sous son commandement, des bases militaires, des usines du Wunder Haus… Il prit un moment à retrouver le numéro qu’il cherchait mais celui-ci le prit de court. Vibrant, le portable afficha un numéro et le nom du contact qui lui était attribué. Le sourire de Kaiser s’agrandit. Il décrocha et parla le premier, comme toujours.


« Commandant Untz, j’aimerais la position exacte de cet avion espion et sa direction. »
« Votre altesse, il survole actuellement la frontière nord, il devrait passer à proximité de Viennes dans quinze minutes. »
« Parfait, bonne soirée commandant. »
Le combiné fût rangé sans attendre de quelconques formules de politesse de la part d’Untz, le commandant en charge de la surveillance extérieur et intérieur du territoire. Yamihime sentait très bien… pardon, « voyait » parfaitement bien ce qui n’avait pas sa place dans son ciel. Quinze minutes c’était court mais Kaiser ne pouvait pas sortir sans le décorum et l’habituelle mise en scène. Celle-ci lui plaisait tant et si bien qu’il en faisait faire un article dans le journal et à la télé dès le lendemain. Et puis après tout, une petite piqure de rappel à tous ces empafés d’Europe ne pouvait pas leur faire de mal n’est-ce pas ?
Que fabrique-t-il encore, vous demandez-vous ? Et bien le jeune homme allait tout simplement passer dans sa chambre quelques vêtements, suivi de près par quatre gardes de la BSEP. Leurs Phantoms marchaient, volaient, lévitaient à leurs côtés, et le dirigeant le plus charismatique du monde n’était pas sans en ressentir une grande fierté. Voir toutes ces créatures à son service pour le protéger, c’était là la concrétisation de certains de ses projets après-tout ! Arrivé à son immense chambre, Kaiser planta les gardes devant sa porte et entra avec Yamihime sur ses talons pour se déshabiller rapidement et enfiler une tenue de golfeur. Bizarre n’est-ce pas ? C’est armé d’un club et de quelques balles dans sa main qu’il ressortit, informant sa garde qu’ils allaient sur le toit ce soir, et qu’ils devaient tout de suite amener son caméraman personnel.


« Et s’il dort votre altesse ? » Demanda le garde chargé d’aller le chercher.
« Et bien tu me l’amènes sur ton dos, et au pas de course bon sang ! »
Quelques minutes plus tard, autrement dit presque quinze minutes après le coup de fil reçu de la part d’Untz, Kaiser prenait la pose sur sa « terrasse ». Il l’avait faite réaménager pour pouvoir jouer au golf depuis celle-ci, et elle servait accessoirement à faire ce qu’il s’apprêtait à faire. Sur sa droite, le caméraman en caleçon grelotait en installant sa caméra numérique de poche sur un petit piquet de métal. Le jeune homme à la chevelure pourpre claqua la langue.

« Bon, on peut y aller oui ? »
« Tout est ok votre altesse, c’est quand vous voulez ! »
« Alors c’est parti ! »
Sans crier gare, Kaiser arma son fer, fixant un point noir dans le ciel. Ce foutu appareil allait faire un allé simple pour la casse ! Yamihime à sa gauche, avait reprit sa taille maximum, autrement plus de cinq mètres de haut au garrot. Elle grognait, le poil hérissé, contre cette chose qui gâchait sa contemplation du ciel. Le golfeur frappa la balle un peu spéciale avec une force inouïe, l’envoyant droit vers le ciel. C’est alors que son Phantom rugît et ouvrît la gueule pour cracher un jet unique et concentré de feu tel un rayon laser droit sur le projectile volant. Celui-ci explosa juste avant d’être touché sous l’impulsion d’une commande installée sur la crosse du club de golf. Les flammes de l’explosion donnèrent une impulsion surprenante à l’attaque de Yamihime qui continua sa course sans discontinuer…

Le lendemain on vît les images de cette scène passer sur les écrans de télévision du pays : Kaiser avait encore abattu un avion espion, les frontières ainsi que leur intégrité Autrichienne continuaient d’être protégé, par lui-même en personne ! Et même si parmi les gens qui regardèrent l’émission certains ne le soutenaient pas, d’aucuns ne pouvaient dire qu’il ne respectait pas sa parole de faire grandir ce beau pays au nez et à la barbe du monde. Kaiser était un homme de parole, qu’on se le tienne pour dit.
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