.: Wiens ~ Ceux de Vienne :.
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 .: Sciera Viktoria Von Reiner :.

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Sciera V. von Reiner
Chef de la BSEP :.
Sciera V. von Reiner

Messages : 111
Métier & Groupe : : Chef de la BSEP & de la Garde personnelle de Kaiser :.

.: Sciera Viktoria Von Reiner :. Empty
MessageSujet: .: Sciera Viktoria Von Reiner :.   .: Sciera Viktoria Von Reiner :. EmptyMar 1 Fév - 23:21

.: Sciera Viktoria Von Reiner :. Sciera10

~ Sciera Viktoria von Reiner, 26 ans, Miss Célibataire ::

Classe Sociale & Mêtier :: Sciera provient d'une famille d'ascendance noble, assez aisée. Son père est métissé, et d'origine étrangère, alors que sa mère, d'origine nordique, est une splendide femme aux cheveux aujourd'hui blanc et au teint encore laiteux. L'ainée des Reiner, car elle a un petit frère, a fait de brillante études avant d'intégrer un cursus militaire et de joindre la traditionnelle garde nationale. Elle fut assez vite reconnue pour son talent, sa jeunesse, et biens sur son sexe minoritaire dans l'armée. Mais être une femme ne la rend pas moins redoutable que les hommes, bien au contraire. Aujourd'hui, Sciera se retrouve a propulsée non seulement a la tête de la BSEP, mais aussi de la garde personnelle de Kaiser ! Pas pour son Humble Plaisir Personnel, malheureusement.
Lieu de Résidence :: Neubau, un immeuble haut et élégant, à la façade virant sur le gris pâle, tout près du MuseumsQuartier et des Musées d'histoire de l'art et d'histoire naturel. Sciera vit au centre même de la ville, dans un endroit agréable, assez beau, et, disons le, assez luxueux. Son appartement du dernier étage est immense, un peu en retrait pour ne pas être visible de la rue, mais offre une large vue sur toute la ville de Vienne. Les murs en sont entièrement peint en blanc, on y trouve très peu de meubles, mais de nombreuses -fausses- fourrures au sol, d'une douceur sans pareille. Il semble parfois qu'il y a dans cet endroit plus de fenêtres que de murs... Ça n'est pas tout à fait vrai, mais disons que le doute est justifié.

Opinion concernant Kaiser & son régime :: Disons le, à la base, ce qu'il pouvait se passer lui était égal. Kaiser, c'est du bon et du mauvais. Pour Sciera, ce qui compte, c'est Massacre, et son train de vie : tout n'est pas juste dans le gouvernement en place, mais tout n'est pas catastrophique non plus ! Quand à Kaiser, et bien, du moment qu'elle peut garder ces distances...





.: Sciera Viktoria Von Reiner :. Massac10
~ Phantom réfléchi nommé Massacre appartenant à la Classe de Faunes ::

Espèce à laquelle il s'assimile & Sexe :: Disons que Massacre est un gros chien, ou peut être un chien loup, ou tout simplement un gros loup Noir. "Un" ? Oui oui, c'est un mâle. :: Miracles Physiques et Spirituels :: Ces pouvoirs sont essentiellement affilies aux Ombres, et a l'hanihilation de toute lumiere. Mais ces Ombres ont la curieuse faculte de propager la tristesse dans le coeur des gens....

Particularités :: Oh Massacre ♥ Massacre est un "très gros toutou", c'est à dire un loup imposant et un peu pataud. Outre sa très grande taille, on devine sa musculature sayante sous le poil volumineux et, malgré son aspect hérissé, des plus doux. Ces yeux sont rouges. Mais ... Combien d'yeux désigne ce "ses" ? Deux ? Vous êtes loin du compte... Massacre possède aux total six magnifiques pupilles écarlates. Celles ci lui donnent une vision du monde hors pair. Mais il ne peut pas garder ces yeux ouverts tout le temps, aussi bien pour son cerveau que pour le cœur des petits enfants qui le voient passer par là. Le Chien préserve donc généralement seulement deux pupilles ouvertes, et les autres, closes, se perdent parmi ses poils d'ébène. :: Taille Maximale & Taille minimale : Massacre peut mesure jusqu'à 2m40 environ au garrot, mais aussi rétrécir considérablement, pour devenir gros comme un chiot. Soit mesure environ 20 cm de haut.





.: Sciera Viktoria Von Reiner :. Racit210EN COURS

6 :30. L’appartement est déjà baigné par les rayons de soleil. Elle enfoui son visage dans la masse chaude qui lui servait de lit en grommelant. Mal a la tête… 6 :38. C’est chaud, et c’est poilu… Ça se soulève doucement, a un rythme régulier. Et puis… Ça dégage une odeur tendre, mêlant ville et campagne, pin et herbe, alcool et fumée de cigarette avec cannelle et une autre odeur connue. Elle se laissait bercer par cette odeur familière, en oubliant la douleur. 6 :44. Une grande forêt. Avec du muguet, l’arrivée du printemps, les senteurs, les premières fleurs. 6 :48. Ils courent ensembles dans les champs, ils rient avant de se rouler dans l’herbe. 6 :52. Elle lui caresse tendrement le dos avant de se blottir contre lui… Hmm, le bonheur ♥ ET puis ils restent allongés la, en regardant le ciel… Oh ! un Paris Brest ! Et là, là… une Charlotte aux Fraises. Et une Sachertorte ! 6 :58. Des gâteaux tombent du ciel, tous sertis d’une crème plus onctueuse les uns que les autres. Un grand macaron fourré à la crème anglaise et aux framboises fraîches lui tombe entre les mains, elle rosit de plaisir. 7 :00 – Le réveil sonne.
Sciera grogna sans daigner ouvrir les yeux, et lança furieusement sa main sur le bouton mettant fin au cri du réveil. OU PAS. La jeune femme poussa un « AIE !!! » sonore, se redressant brutalement en frottant sa main douloureuse : elle avait percuté le bord de la table basse. Ha oui tiens… Sciera V. von Reiner se trouvait par terre dans son salon, appuyée sur une informe masse de poils noir, sur des tapis de fourrure. Elle portait une simple culotte et une chemise mal boutonnée, les cheveux en bataille, des cernes… Très présentable quoi. Pfff… Et ce fouttu mal de tête. La masse remua, et la tête colossale de son canidé noir entre ouvra deux de six yeux pour regarder sa maîtresse, encore rêvant. Elle lavait encore fait. La veille au soir, la demoiselle Reiner avait regardé la télé allongée à moitié nue sur le tapis et massacre, en grignotant des barres de patte d’amande fourrées aux pralinés, une bouteille de vin à sa droite, un verre de whisky à sa gauche. Bref, comme d’habitude. Et bien sur, elle s’était endormie devant une émission débile, et avait passé la nuit par terre. Comme d’habitude. Enfin, disons que ces « accidents » étaient beaucoup trop fréquents. Pressée par la sonnerie du réveil, Sciera se leva et partit éteindre cette sonnerie de malheur. Au moins, elle était levée : et une fois levée, elle ne se rendormait pas. Elle gagna donc la salle de bain…. Se jetât littéralement le contenu d’un verre d’eau à la figure qui fit un effet boeuf, doublé de quelques gélules bicolores, puis se brossa les dents avant de passer aux cheveux {en changeant de brosse, heureusement]. Ceux ci étaient d'un naturel facile, et quoi qu'elle fasse, elle se réveillait toujours étonnamment peu décoiffée. Et malgré sa nuit peu convenable, son visage était toujours aussi lisse, elle n'avait pas de cernes. Juste le regard un peu morne... Mais cela n'était pas rare. Ayant achevé de s'arranger -le tout n'avait pas prit plus de dix minutes, elle n'était pas très coquette- , la demoiselle partit s’habiller. Massacre émit un bâillement sonore, avant de finalement se lever à son tour en s’étirant. La créature n’aimait pas beaucoup se lever tôt, ni se lever tout court. Elle … ? Elle était partagée, et bien plus paresseuse qu’elle n’en donnait l’impression. De famille … ? Peut être bien. Mais une fois levée, elle était rapide et efficace : un quart d’heure lui suffit pour être lavée et habillée, et déjà bien réveillée. Elle se mit à table pour petit déjeuner un peu avant de partir. ~ Sciera Viktoria von Reiner avait commencé sa « carrière » a la cavalerie. Elle faisait de l’équitation depuis longtemps, et, élève studieuse, avait brillé à l’école militaire, pour finalement atteindre ce poste avantageux. Mais lorsque l’empereur Weizimmer avait fait son coup d’état, la Cavalerie avait intégré la Brigade nouvellement créée, la BSEP. A ce moment là, tous durent avoir un Phantom. Ils reçurent même une somme coquette payant une bonne partie du montant du bonbon, bien que pas la totalité de celui-ci. Mais Sciera, elle, avait déjà son Massacre depuis plusieurs mois. Elle avait été parmi les premières personnes dans l’armée à avoir un Phantom. Mais il n’était pas là pour se battre, du moins pas a la base… Massacre était avant tout le chouchou de la demoiselle. Enfin, il avait malgré tout vite remplacé le cheval, bien qu’elle montât encore des bêtes de la cavalerie régulièrement. Massacre posa sa tête sur ses genoux, couinant légèrement pour demander caresse. IL avait beau faire plus de deux mètres de haut quand il le voulait, c’était une grosse chose câline. Avec elle, en tout cas. Elle avait l’impression de l’avoir toujours eut à ses cotés… Parfois, elle rêvait de moments d’un temps ou elle aurait été jeune, jouant avec un massacre encore petit… Dommage que les Phantoms Candys soient apparus aussi tardivement. Elle prit le temps de savourer tranquillement sa Nussputitze et jus de fruit {orange carotte citron de chez pago] en écoutant la radio. Mais malgré la situation, il ne se passait pas grand-chose ces derniers temps… Les gens avaient finis par accepter l’empereur, et ceux qui ne l’acceptaient pas ne le criaient de toute manière pas sur les toits. Ces gens là de toute manière… elle s’en fichait pas mal, malgré son travail. Sciera termina son petit déjeuner alors que résonnait, comme chaque matin, le générique de l’émission ridicule du nom de « Kaiser, beau ! Grand ! Fort ! » Fort certes, mais pour le reste… Certes, il avait un certain charisme. Et il n’était pas mal fait non plus. Mais il n’était pas beaucoup plus grand qu’elle. Enfin, elle était grande, aussi. Fin bref, selon Sciera, il n’y avait pas la de quoi en faire tout un foin. Peut être qu’avec le temps, elle changerait d’avis. En bien en mal ? Qui sait. L’officière de la cavalerie ajusta son uniforme devant le miroir, et se tint prête à partir, Massacre sur ses pas. Comme chaque matin, elle laisserait un derrière elle un appartement d’apparence nickel, ponctué de touche de négligence totale, tel que ces habits de la veille par terre en plein milieu de l’immense loft ou la table du petit déjeuner laissée à l’abandon. Mais voila : Sciera avait une femme de ménage qui se chargeait de ses petites négligences très régulièrement. Elle ferma donc, comme chaque matin, la porte le plus sereinement du monde. 7 :36, elle était dans les temps. La Jeune femme, vêtu de l’uniforme bleu sombre de la BSEP descendit tranquillement les escaliers des 8 étages de son immeuble, toujours son énorme canidé sur les talons.

Les journées au sein de la Brigade étaient moins monotones que celles au sein de la cavalerie. Mais si elle l’avait pu, Sciera se serait bien contentée de la cavalerie toute sa vie : elle n’était pas très fière de certain agissement de la Brigade. Cependant, la politique actuelle pouvait être prise avec le sourire, si on envoyait les gens aux tournois, le tout se déroulait bien dans la majorité des cas. Cette année avait d’ailleurs été calme, et même assez agréable. Une période de stabilité avait même montré le bout de son nez ! Puisse cela s’éterniser… Cette journée serait une journée comme les autres : un passage du coté des locaux pour des formalités, voir s’il y a du nouveau, puis les habituelles patrouilles, devenues le quotidien des membres de la BSEP. L’entraînement… Ils s’y adonnaient encore bien sur, mais même moins qu’avant. La pratique compensait cependant, d’habitude du moins. Sciera s’était réhabitué à un quotidien somme toute calme. Elle arpentait les rues de Vienne sur le dos de massacre, et en profitait même pour prendre du bon temps dès qu’il n’y avait pas de collègue en vue. Un modèle de professionnalisme ? De réputation en tout cas… dès qu’on avait le dos tourné la cavalière s’en donnait à cœur joie : passage à la librairie, pose pâtisserie chez Aida, partie de carte avec quelque connaissance dans un coin, lecture à l’abri des regards, parfois quelques tours de joués… Il fallait bien passer le temps après tout : calme et ennuyeux ne riment pas. Et puis Massacre n’allait pas la porter toute la journée non plus !
10 :00 : Sciera marchait tranquillement dans les rues de Vienne, Massacre ayant abordé la taille d’un gros chien normal trottinant à ses cotés, lorsqu’elle fut interpellée. L’énergumène s’appelait Kent, et était l’un de ces collègues, même s’il ne faisait pas partie de la cavalerie. Il avait les cheveux roux, en bataille, et ne portait que très rarement son uniforme comme il le devrait. Des t-shirt aux imprimés douteux remplaçaient systématiquement sa chemise blanche, et n’étaient qu’à moitié caché par une veste systématiquement ouverte. Mais Sciera s’en amusait plus qu’autre chose, et le personnage était sympathique. Vif, enjoué, blagueur quoi qu’un peu railleurs aussi. Il était l’un de ce parfait passe temps… Et son Phantom était surprenant. Un coyote prénommé Kyo à la démarche légère et à la silhouette svelte, du moins semblait il. C’était son apparence favorite, disons, parmi les innombrables apparences qu’il aimait à revêtir. Sciera l’avait déjà vu se transformer en objets, en humain et même en murs ! Mais il était vrai qu’il ne devenait jamais plante ou enfant, et devait donc bien être un faune à la base… Un faune plein de ressources dont elle était loin de connaître toutes les capacités. Fin bref, Kent vint vers elle, tirant cette tronche de « j’ai une mauvaise nouvelle ». Sciera lui fit signe de déballer son sac d’un simple regard. Il passa à l’acte.
    On est de corvée pour le barrage aux chaussettes.
… Super. :: Mais qu'est ce que le barrage aux chaussettes me direz vous ...? C'est sur que le nom semble un peu... ridicule, disons le. Eh bien, le jeudi précédent, soit exactement une semaine au par avant, une loi étant passée, imposant que tout le monde porte des chaussettes rayées. Oui, je sais, cet idiot. Mais Sciera, comme les autres, dut se soumettre à cette règle : disons le, les magasins de chaussettes connurent des émeutes, ce jour là. Ainsi, une semaine durant, tout le monde dut porter des chaussettes rayées, sous peine de sanctions. Mais, me direz vous, des chaussettes, ça se cache. Comment être sur que les gens portent des chaussettes rayées ? Eh bien en érigeant des barrages ! Ou chacun doit présenter ces chaussettes. Charmant n'est ce pas ? Sciera avait tout fait pour éviter cette corvée, et maintenant qu'elle pensait y avoir échappé, elle se trouvait prise au piège, le tout dernier jour de la tyrannie de la chaussette rayée. La chance ne lui souriait pas... Enfin, il était trop tard désormais, et au moins, elle ne serait pas seule. Tout comme elle, Kyo avait tenté d'échapper a cette tâche là, et ils tombaient ensemble de leur piédestal.
... Autant dire que si Sciera ne s'était pas amusée a affirmer subitement que les rayures devaient être forcément verticale -faisant croire a plusieures personnes qu'elles iraient en tournoi de manquant de tuer une petite vieille d'une crise cardiaque-, elle serait devenue folle d'exaspération. La journée fût... Très longue. Ponctuée heureusement d'une traînante et également très longue pause déjeuner. Finalement, l'officiere parvint a s'echapper peu avant 6 heure, terminant ainsi assez tôt son service. Après tout, il y avait des limites ! Ainsi c'était écoulée la journée de travail.

    - Frerot, comme d'hab' !
Sciera se laissât choir a sa place habituelle... Du café ou travaillait son frère cadet. Massacre devenu petit sur ses genoux, les pieds sur la chaise d'a côté, autant dire qu'elle prenait ces aises... Comme d'habitude, après tout. Miss Sciera passait quasiment tout les jours au café après son service, et elle y restait ... Longuement. Son frère ? Un brave mec. Un peu blasé comme elle, ils se ressemblaient pas mal, sur plusieurs points. Ouai, mais lui contrairement a la miss, c'était un peu un loser. "Ein Versager", disait leur parents. Fallait bien le dire... Avec son colloc misérable, son job de serveur et son insupportable citrouille en guise de phantom... Pas comme Sciera ! Mais elle l'aimait bien, son 'ptit Klaus. Le Reiner sans le "von". Même si elle lui en faisait bien baver... Mais c'était affectueux, évidement.
[...] 00:24 ~ Pour Sciera, une heure tout ce qu'il y a de plus commune pour rentrer chez soi... Un peu pompette bien sur. Elle n'allait jamais a des fêtes, ou presque, mais elle aimait beaucoup siroter longuement, le soir... Du vin surtout, parfois des petites choses pétillantes comme du champagne, régulièrement un brin d'alcool fort. Pour ce qu'elle buvait, elle tenait très bien. Après, il lui faudrait faire attention en prenant de l'âge : ya toujours un moment ou ça passes plus ! Mais pour l'instant... Et puis elle pouvait rentrer quand elle voullait, personne n'était jamais la pour l'attdre, cette grande célibataire ! ... Ou presque. Au pieds de Sciera, il y avait une enveloppe rouge qui avait été glissée sous sa porte... La jeune femme se penchat, et la ramassa. La, il y avait le sceau "du plus beau, du plus grand, du plus fort" ~




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{Den kenn' ich}
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